@ Monterrey, México
Ilha dos Papagaios (2)
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| la rive en face de l'île des perroquets, vers où les perroquets volent |
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Ilha dos Papagaios
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| Ilha dos Papagaios |
L'Île des Perroquets est située à environ 20 minutes de Belém en bateau. Cette île est une sorte de dortoir pour perroquets: plusieurs milliers de perroquets y vivent, cohabitant avec une petite vingtaine de Brésiliens seulement. Et dès le lever du jour, ils quittent leur île dortoir et traversent la rivière pour rejoindre la forêt où ils se nourrissent. Il faut donc se lever tôt pour assister à ce spectacle de la nature qui débute autour de 5h30 et dure jusqu'à 8h environ. Ce "spectacle de la nature", c'est une cacophonie de cris stridents et des nuages de perroquets volant en tous sens pour se retrouver. Parce que les perroquets sont des animaux fidèles, qui vivent en couple, et on peut voir comme au milieu du nuage de perroquets, petit à petit, se forment des groupes de 2 ou 3 (s'il y a un bébé perroquet).
Les perroquets de cette île sont des petits perroquets verts, de l'espèce "Amazonia amazônica". Ils peuvent parler, mais seulement si ils sont dressés dès qu'ils sont bébés.
C'est un spectacle qui vaut le détour, surtout que c'est l'occasion d'apprécier un magnifique lever de soleil. J'ai beaucoup apprécié, même si la journée avait débuté avec un drame: les tout premiers perroquets étaient en train de traverser la rivière, et ils volaient très haut dans le ciel. D'un coup, j'en vois un qui descend brutalement, je dis à Richard "oh regarde, ils redescend vers la forêt", sauf que le perroquet en question était en chute libre et que l'instant d'après, on a entendu "plouf!" et on a vu une onde de choc se former à la surface de l'eau... C'était Plouf le Perroquet... En vrai, c'était dramatique! Surtout penser qu'il y avait sûrement un autre perroquet qui recherchait désespérément sa moitié...
Les perroquets de cette île sont des petits perroquets verts, de l'espèce "Amazonia amazônica". Ils peuvent parler, mais seulement si ils sont dressés dès qu'ils sont bébés.
C'est un spectacle qui vaut le détour, surtout que c'est l'occasion d'apprécier un magnifique lever de soleil. J'ai beaucoup apprécié, même si la journée avait débuté avec un drame: les tout premiers perroquets étaient en train de traverser la rivière, et ils volaient très haut dans le ciel. D'un coup, j'en vois un qui descend brutalement, je dis à Richard "oh regarde, ils redescend vers la forêt", sauf que le perroquet en question était en chute libre et que l'instant d'après, on a entendu "plouf!" et on a vu une onde de choc se former à la surface de l'eau... C'était Plouf le Perroquet... En vrai, c'était dramatique! Surtout penser qu'il y avait sûrement un autre perroquet qui recherchait désespérément sa moitié...
Le Parc Emilio Goeldi (2)
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Entre les nombreuses espèces animales du parc, vous remarquerez cet espèce de gros rat un peu moche, qui malheureusement se promène librement dans le parc... Oui je dis malheureusement, parce que de loin c'est à peu près mignon, mais lorsque 2 de ces animaux font la course, et déboulent d'un coup dans les jambes des promeneurs (les miennes, en l'occurrence ;), ça fait peuuuur!
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Le Parc Emilio Goeldi à Belém
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Le parc Emilio Goeldi est un parc botano-zoologique situé dans le centre de Belém, qui rassemble des centaines d'espèces végétales et animales de la forêt amazonienne. Il possède aussi un centre de recherche sur l'Amazonie et un musée.
Ce qui est marrant c'est que le parc est situé en ville, mais dès qu'on y pénètre, c'est un autre monde: tout est plus calme dans cet environnement vert et dense... très ressourçant!
Comme on est encore dans la saison des pluies, on s'est fait surprendre par la pluie, mais heureusement ces pluies tropicales sont plus agréables que les pluies de l'Ouest de la France ;) C'est bizarre quand je pense à la Vendée, ou Angers, ou Nantes, j'ai beaucoup de souvenirs désagréables de la pluie, alors qu'ici j'ai pas l'impression qu'il pleut tant que ça. Et pourtant... les statistiques indiquent une moyenne de 3000mm de pluie par an dans la région de Belém, contre 850-900mm en Vendée! Qui l'eût cru...
Ce qui est marrant c'est que le parc est situé en ville, mais dès qu'on y pénètre, c'est un autre monde: tout est plus calme dans cet environnement vert et dense... très ressourçant!
Comme on est encore dans la saison des pluies, on s'est fait surprendre par la pluie, mais heureusement ces pluies tropicales sont plus agréables que les pluies de l'Ouest de la France ;) C'est bizarre quand je pense à la Vendée, ou Angers, ou Nantes, j'ai beaucoup de souvenirs désagréables de la pluie, alors qu'ici j'ai pas l'impression qu'il pleut tant que ça. Et pourtant... les statistiques indiquent une moyenne de 3000mm de pluie par an dans la région de Belém, contre 850-900mm en Vendée! Qui l'eût cru...
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RN, RD, chemin creux??
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| l'autoroute! (à une voie) |
Dans la rubrique "cette Amazonie qui nous entoure", quelques photos du parcours qu'on doit effectuer lorsqu'on va à Belém le week end. Il faut d'abord préciser que Vila dos Cabanos, la mini-ville où on habite, se situe en fait juste en face de Belém, si ce n'est qu'entre les deux, y'a une rivière. Mais à vol d'oiseau on est genre à 60km. Mais on met toujours au moins une heure et demie pour y aller...
Deux options s'offrent à nous:
- prendre la "rodoviária", c'est à dire la seule route qui va à Belém, et qui a été très bizarrement dessinée, c'est à dire qu'elle nous ballade sur plus de 100km et nous fait passer trois grands ponts au dessus des bras de la rivière avant d'arriver à Belém. Cette route est chroniquement pleine de nids-de-poule, étant donné que lorsqu'un trou est bouché par la DDE locale (probablement pire qu'en France, soit dit en passant), il s'en forme deux autres ailleurs (cf. la Loi de l'Amazonie). Cela dit c'est en général divertissant pour le pilote, c'est toujours un challenge.
- 2ème option, prendre la "balsa", un bac qui nous permet de traverser la fameuse rivière qui nous sépare de Belém. Mais bon, l'embarcadère est situé à plus d'une demie-heure de chez nous, la route pour y aller concurrence la rodoviária en matière de nombre de nids-de-poule au mètre carré, et le bac met une heure à traverser.
L'objectif de ce billet: aucun, si ce n'est que vous appréciiez la qualité de la route la prochaine fois que vous la prendrez (la route ;)
Deux options s'offrent à nous:
- prendre la "rodoviária", c'est à dire la seule route qui va à Belém, et qui a été très bizarrement dessinée, c'est à dire qu'elle nous ballade sur plus de 100km et nous fait passer trois grands ponts au dessus des bras de la rivière avant d'arriver à Belém. Cette route est chroniquement pleine de nids-de-poule, étant donné que lorsqu'un trou est bouché par la DDE locale (probablement pire qu'en France, soit dit en passant), il s'en forme deux autres ailleurs (cf. la Loi de l'Amazonie). Cela dit c'est en général divertissant pour le pilote, c'est toujours un challenge.
- 2ème option, prendre la "balsa", un bac qui nous permet de traverser la fameuse rivière qui nous sépare de Belém. Mais bon, l'embarcadère est situé à plus d'une demie-heure de chez nous, la route pour y aller concurrence la rodoviária en matière de nombre de nids-de-poule au mètre carré, et le bac met une heure à traverser.
L'objectif de ce billet: aucun, si ce n'est que vous appréciiez la qualité de la route la prochaine fois que vous la prendrez (la route ;)
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Waou... les photos on dirait des photos de magazines tellement elles sont chouettes! Ça donne envie.
C'est triste l'histoire du perroquet en chute libre... une crise cardiaque de porroquet ça existe?!?